page



X

   X. «L[e] x n'est qu'un signe orthographique pour noter la succession des consonnes c et s». (DARMESTETER, vol. I, p. 121, note).

   La commission, chargée de reviser l'orthographe de la langue française,
propose d'écrire au pluriel: chevaus, égaus, deus, bijous, etc. Les écrivains, jusqu'à ce jour, n'ont pas pris cette proposition au sérieux et x continue de s'écrire dans les mots où il a régné depuis le moyen âge.




Source : POIRIER, Pascal. Le Glossaire acadien, édition critique établie par Pierre M. Gérin, Moncton, Éditions d'Acadie; Moncton, Centre d'études acadiennes, 1993, 500 p.