à la Chambre des communes me laissant, en dehors de la session du parlement, toutes sortes de loisirs6».
1877
En avril, il fait paraître, dans le Foyer domestique, un poème, «Sur la fausse grandeur du temps (au Docteur J.C. Taché)».
En juin, il fait paraître un article, «Les lépreux de Tracadie (Nouveau-Brunswick)», dans l'Opinion publique.
En juillet, il fait paraître un compte rendu du volume de Rameau de Saint-Père, Une colonie féodale en Amérique, dans l'Opinion publique.
Du 21 août au 27 décembre 1977, il fait un voyage d'études de cinq mois à Paris. Dans une lettre sans date à Rameau de Saint-Père, qui pourrait avoir été écrite autour du 15 septembre 1877, il avoue ne pas avoir le temps de visiter la ville et dit avoir des projets: «Lorsque vous viendrez à Paris dans le courant de l'hiver je vous ferai part de mes projets; mais je les trouve tellement présomptueux que je n'ose vous les écrire». Dans une autre lettre au même destinataire, datée du 27 décembre 1877, il précise qu'il a remis sa pièce, [probablement les Acadiens à Philadelphie], à un théâtre parisien: «Quant à ma pièce, je l'ai passée à l'Odéon, mais vous connaissez les lenteurs de ces choses-là».
1878
En février et en mars 1878, il fait paraître dans l'Opinion publique deux articles, «À propos de l'Exposition (de Paris)» et «À propos de Paris».
1879
P. Poirier épouse Anne Lusignan, soeur d'Alphonse Lusignan.
En octobre, il fait paraître une critique de l'ouvrage de Joseph Tassé, les Canadiens de l'Ouest, dans l'Opinion publique.
En novembre, il fait paraître un article, «La province de Québec et les beaux arts», dans l'Opinion publique.
1880
En mars, il fait paraître un article intitulé «La langue française et les anglicismes», dans l'Opinion publique.
En juin, il participe, comme membre d'une délégation de quarante-deux Acadiens, au congrès de la Saint-Jean-Baptiste tenu à Québec, et il y prononce