une conférence intitulée «Rapport sur la situation particulière des Acadiens dans la Confédération».
1881
Il est un des organisateurs de la convention de Memramcook.
Il est président de l'Institut canadien-français d'Ottawa.
Il fait paraître une critique des deux recueils poétiques de Louis Fréchette, Pêle-mêle et Fantaisies et souvenirs poétiques, et de sa pièce de théâtre, Papineau, dans la Revue canadienne.
1882
En février, il fait paraître deux articles respectivement intitulés «Les perles canadiennes», et «Nos journalistes doivent-ils signer leurs articles?», dans l'Opinion publique.
1883
Il est président de la Société de minéralogie de l'Université d'Ottawa.
À la fin de l'année paraît, dans la Revue canadienne, le début de son article sur «L'abbé de Queylus».
1884
En janvier et février, il fait paraître, dans la Revue canadienne, la suite de son article sur «L'abbé de Queylus».
En avril 1884, il fait paraître dans les Nouvelles Soirées canadiennes un article intitulé «Les huîtres».
Il publie un article sur «La langue acadienne» dans les Nouvelles Soirées canadiennes.
Il est nommé président de la Société nationale l'Assomption et détiendra cette fonction jusqu'en 1904.
1885
Au début de l'année, il démissionne de la fonction publique et déménage d'Ottawa à Shédiac.
Le 9 mars 1885, il est nommé sénateur, à titre de représentant des Acadiens, par Sir John-A. MacDonald. Il a tenu ce rôle, pendant quarante-huit ans, jusqu'à sa mort.