1908
Il écrit une étude historique intitulée «Les Acadiens déportés à Boston», publiée dans les MSRC.
Il publie une plaquette intitulée Reminiscences, Souvenirs de l'Institut canadien-français.
En août, il participe à la convention nationale de Saint-Basile (N.-B.).
Le 11 septembre, il perd une fille mort-née.
En septembre-octobre, il fait paraître, dans la Revue franco-américaine, un article intitulé «L'histoire des Acadiens - Comment on l'a écrite».
1910
En février 1910, il intervient de nouveau au Sénat pour demander au Gouvernement d'affirmer officiellement son droit sur le Grand Nord.
1911
En janvier et février, il fait paraître un article intitulé «Les notaires de l'ancienne Acadie».
En avril, au Sénat, il appuie un projet de loi visant à réduire à huit heures la journée de travail.
En novembre, il intervient au Sénat en faveur de la création de bourses de recherche.
Il écrit une préface à une traduction de l'Évangéline de Longfellow par A. Bollaert.
Il subit un échec dans sa candidature à la présidence du Sénat.
1912
En juin, il participe, à Québec, au premier congrès de la langue française au Canada: il y prononce un discours sur l'enseignement des sciences dans les écoles catholiques, qui suscite une vive opposition.
1913
Il occupe à nouveau, jusqu'en 1921, le poste de président de la Société nationale l'Assomption.
Sa femme, Anne née Lusignan, meurt le 11 novembre 1913.